jeudi 18 décembre 2008

L’AFFAIRE : HASSENI OU « L’OMBRE POUR LA PROIE »?



" DANS L’AFFAIRE : HASSENI LA JUSTICE FRANÇAISE N’EST ELLE PAS EN TRAIN DE PRENDRE : « L’OMBRE POUR LA PROIE » ? "

Dans l’affaire : HASSENI, la justice française n’est-elle pas en train de prendre l’ombre pour la proie et M. HASSENI : Responsable du protocole au ministère des Affaires étrangères algérien pour M. HASSANI : ancien capitaine de la DGPS Veut-on donc compromettre l’Etat algérien ?
C’est loin d’être une affaire d’homonymie : si l’homonymie se situe au niveau des prénoms : Ziane, il n’y en a aucune par contre, au niveau des deux noms. Ce sont deux noms phonétiquement différents. De plus la filiation des deux personnes prouve clairement qu’il ne doit y avoir aucune erreur possible : ce sont deux personnes bien distinctes.
Ceux qui se complaisent à ne point vouloir comprendre cette flagrante réalité ne chercheraient-ils pas à enfoncer encore plus le diplomate algérien, donc l’Algérie ?
Mais pourquoi ? Quels comptes y a-t-il à régler encore ?
Ne serait-ce pas une erreur monumentale pour les uns et monstrueuse pour les autres.
Une affaire qui traîne depuis le 14 août dernier,
Deux familles qui peinent
et une relation, entre deux pays, qui risque, chaque jour qui passe, de se dégrader un peu plus, au moment où les peuples font tout pour se rapprocher un peu plus.
Et, pourtant, des magistrats trop imbus de leurs pouvoirs croient pouvoir tout se permettre sans avoir de comptes à rendre, par la suite aux uns et autres, de leur très grave bavure judiciaire lorsque la confirmation de leurs erreurs et de leur injustice, même, à l’endroit du Diplomate Algérien : M. HASSENI et non pas HASSANI seront plus perceptibles par la force des faits et de la réalité, jusque-là, totalement et avec un très grand entêtement, ignorés.
Que ne faudrait-il donc pas, à M. HASSENI, après les tests d'ADN et de graphologie qui prouvent son innocence ?
La justice française veut elle donc un coupable coûte que coûte ?
La diplomatie française se doit d’agir dans ce cas.
Qu'attend-elle ?
Il n’est pas demandé aux autorités françaises de disculper un criminel mais d’être justes et non pas d’user dans cette affaire-ci de deux poids et de deux mesures par rapport aux autres affaires comme, ne serait-ce que, celle de l’ "Arche de Zoé" ou celle de l'affaire de la Rwandaise Rose Kabuye, extradée d’Allemagne.
Les relations algéro-françaises risquent de grincer encore avec cette toile de fond qui en dit long.
Le chef de la diplomatie française : M. Bernard Kouchner ne se sent-il donc pas interpellé par cette affaire qui a tendance à perdurer ?
Qui veut donc compromettre l’Algérie et pourquoi ?



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Par LEMILITANTSANSFRONTIERES
le 17/12/2008

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