jeudi 26 décembre 2019

ENFIN!

C'est par pur hasard que j'ai découvert ce soir même à  B Blogger ce qui a été écrit sur Biskra par le biais  de l'Association  Mosaïque de Biskra.
Que  M. SLIMANI Mohamed et tous ceux qui ont contribué au succès de la visite et de la rencontre avec notre Histoire de Biskra soient remerciés.
En commentaires j'ai publiés deux poèmes dont le recueil "cherche éditeur" encore.
Peut-être notre CARBUCCIA serait intéressé. Nous verrons.
Je publie pour vous les deux poèmes ci-dessous.
Que B Blogger considère cela comme un clin d’œil  pour lui puisque depuis le temps, je n'ai pu y accéder; alors j'en profite ce soir.
Mes remerciements à ceux qui sont derrière B Blogger.
Bonnes fêtes de fin d'année à toute l'Equipe.
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Comment vas-Tu ?

Comment vas-Tu mon Cher Floquet ?
Comment vas-Tu mon Cher Maïques ?
Comment vas-Tu mon Cher Touitou?
Comment vas-Tu mon Cher Barkat’s ?
Comment vas-Tu ma Chère M’sellati ?
Comment vas-Tu ma Chère Ben Amar ?
Comment vas-Tu ma Chère Dessolin ?

Comment vas-Tu ma Chère Sœur ?
Combien d’enfants n’as-TU pas soignés ?
Combien d’enfants n’as-TU pas sauvés ?

Comment vas-Tu mon Cher Philippe ?
Comment vas-Tu mon Cher Henri ?
Comment va Paulette que l’on a perdue de vue ?
Comment vont tous nos ami(e) s les Biskris ?
Ceux qui ont dû un jour malgré eux nous quitter
S’il vous arrive de vous rappeler
Nous nous rappelons très vite aussi
S’il vous arrive de renifler
Il nous arrive de renifler aussi
Si vous sentez votre gorge se nouer
Nous sentons la nôtre pareillement se nouer
Et tous nos membres qui se mettent à trembler
Comme tous vos membres qui se mettent à trembler aussi
S’il vous arrive d’avoir des larmes aux yeux
Il nous arrive également d’avoir ces mêmes larmes aux yeux
Et pourtant
Nous sommes bien grands
J’ai soixante-dix ans
Mais en chacun de nous vit un enfant
Et cet enfant n’est point prêt d’oublier le déchirement
Ce déchirement qui a été et qui est toujours le vôtre
Qui a été et qui est toujours aussi le nôtre
Car nous le partageons tous
Et depuis bien longtemps
Ô mes Très Chers !
Ô mes Ami(e) s !
Ô mes Frères Biskris !


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Le tour de la ville

C’est en faisant le tour de la ville de Biskra
Que les anciens murs m’avaient interpellé
C’est en me rapprochant d’eux
Que j’ai  tout entendu
Tout ce qu’ils m’avaient tout gentiment raconté
Leur passé et mon passé devant mes yeux s’étalait
Plus le temps passait
Plus ils m’apprivoisaient
Je redevins enfant comme par magie

Tout en avançant dans mon ancienne ville
Je voyais et tout doucement me rapprochais
Je me mis à caresser les murs séculaires
Et je sentis leur chaleur
Comme je ressentis leur fragilité
Mon regard commença à se voiler
J’avais l’impression que j’allais pleurer

Mais voilà que des voix lointaines semblaient m’appeler
C’étaient mes anciens amis ressuscités
Qui de très loin
De l’autre côté de la mer me voyaient faire
Me voyaient toutes mes photos
Au nom du souvenir et de la fraternité
Pour eux au mur de Facebook placarder.


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En voie d'édition pour faire plaisir à TOUS et à  TOUTES  de la part du  VESCERIEN qui vous aime bien.

lundi 23 septembre 2019

Mohamed Laïd Athmani, invité du Café littéraire de Biskra



                                                              


 Culture 
L'écrivain Mohamed Laïd Athmani, invité du Café littéraire de BiskraPublié par DK News le 06-11-2016, 16h11 | 45L'association culturelle Mosaïque de Biskra a accueilli samedi dans son café littéraire, le
poète, nouvelliste et romancier Mohamed Laïd Athmani dans un débat passionnant des
œuvres de cette figure distinguée de la scène intellectuelle nationale, a-t-on constaté.
Au cours de cette rencontre, tenue à la salle ''Fikr oua adab'' de la capitale des Ziban, le
président de l'association Mosaïque Mohamed Slimani a précisé que la présence du
romancier, d'expression française, parmi son public biskri est "un signe de reconnaissance
pour une plume subtil", soulignant que ce café littéraire est "une tribune" œuvrant à stimuler
la scène culturelle dans un échange devant une meilleure visibilité des œuvres littéraires.
Mohamed Laïd Athmani, natif de Biskra, enseignant à la retraite a affirmé au cours de cette
rencontre-débat que la créativité culturelle "une force motrice de développement" qui permet
à l'individu d'élargir son horizon et à la société se s'épanouir à travers une diversité culturelle.
Mohamed Laïd Athmani est l'auteur de quinze ouvrages débattant de plusieurs questions liées
au dialogue culturel et mutations sociales dont "Octobre Noir" un recueil de poèmes, "Un
corps pour des âmes", "La Palestine, l'Intifadha, les enfants et moi".
L'association ''Mosaïque'' propose périodiquement ces rencontres à caractère culturel, avec
l'objectif de faire entendre au grand public les voix des intellectuels, de différent horizons, a-ton encore noté.

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 http://dknews-dz.com/article/70053-lecrivain-mohamed-laid-athamani-invite-du-cafelitteraire-de-biskra.html#




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ASSOCIATION MOSAÏQUE -- VIDEO - Echourouk TV


L' ASSOCIATION MOSAÏQUE  invite en premier le poète, nouvelliste et romancier : Mohamed Laïd ATHMANI.
 Une VIDÉO de:  ECHOUROUK TV gratifie, et le poète, et l'Association  Culturelle MOSAÏQUE  de  Biskra.
Que ECHOUROUK TV soit remerciée pour cette gratification militante.

mercredi 15 mai 2019

LETTRE A MON CHER FRÈRE ALGÉRIEN









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« Bonjour Mon Cher Frère Algérien !
« Ramdhankoum Karim in chaâllah ! »

J'espère que tu te portes bien ainsi que les tiens et ta si grande famille: tous mes Frères Algériens.
Où en êtes-vous avec le « HIRAK »?

Je sais que tu fais partie de ceux aussi qui vibrent en ce moment, en tant que « Cher » ô Mon Frère Algérien que je connais de tout temps, et si bien.

Moi, TU me comprends très bien aussi. Je le sais.
Il ne me manquait plus que cela pour que je m’enflamme et que je ne sache plus où j'en suis avec le « HIRAK ».

Il faut reconnaître mon Cher Frère Algérien que c'est un miracle!
Oui, un miracle !
Que c’est unique !
Vraiment unique !
Grandiose!
Incomparable !

Un rêve qui, enfin, se concrétise par le miracle d’une jeunesse autre, une jeunesse algérienne qui a eu le courage de s’élever comme un seul homme, une seule voix, un seul cœur qui bat à l'unisson partout en Algérie afin d'oser dire « NON ! » pour l'intérêt de la NATION.
« NON » à tous les abus, à tous les dépassements, à tout le pillage du pays à toute les trahissons.
Cela rappelle l’unité des algériens lors de la RÉVOLUTION De NOVEMBRE 1954. Mais, autre. La jeunesse avance et crie au nom d’une RÉVOLUTION qui se veut n’empêche différente : Une RÉVOLUTION algéro-algérienne, une RÉVOLUTION qui prône le changement, le remaniement généralisé dans la paix.

Depuis le temps que tous les algériens attendaient ce moment, cet événement, cette merveille que le monde entier suit au jour le jour dans une Algérie algérienne exemplaire, une Algérie plus humaine, plus civilisée que jamais et qui brille de tous ses éclats, de toute son ingéniosité, de toute sa créativité, partout dans le pays.
Véritable aurore boréale qui prend son essor dans le décor algérien de toutes les villes de notre pays à leur tête notre capitale, incontestables réceptacles de l’expression d’un peuple sincère, aimant, conscient et surtout pour la bonne cause nationale tout dévoué et militant.

Les mots manquent et ne sauraient décrire cette marée humaine comme mue à travers tout le territoire national par une si grande Force : une Force autre, une Force Divine qui a fait que tout soit bien ordonné, bien chronométré dans un seul et unique souffle, un seul et unique sens, un seul et unique but ; un véritable cri d’amour national que ni le temps, ni les distances ni l’arrogance inqualifiable des « B » : hommes lâches, serviles et viles n’ont pu freiner, n’ont pu entraver, n’ont pu décourager.

C'est l'Algérie réelle qui se réveille et qui interpelle tous ses enfants sans nulle distinction...
C’est le peuple en exaltation, c’est la démocratie à la grecque qui bat le pavé d’ALGER et de toutes les villes d’Algérie sous le drapeau national qui flotte au dessus de ta main, ô Mon Frère Algérien, et qui claque au gré d’un léger vent.
Ce qui se passe en ces mémorables journées est le ciment qui va consolider les liens de notre peuple en éliminant toutes les dissensions et les actes viles des uns et des autres qui le gangrénaient à condition de ne pas se laisser piéger par ceux que nous appelons « LES FORCENÉS DU MAL » qui sont aux abois et qui fomentent toujours en la demeure.

C'est une leçon magistrale d'un peuple digne qui a su demeurer digne malgré tout. C'est une leçon pour tous les lâches qui l'ont abusivement dirigé durant des décennies et qui n'ont pas su respecter sa grandeur et son esprit du sacrifice pour les causes nobles.
Le peuple algérien s'est plié en quatre et a su se taire lorsqu'il fallait se taire. Le voilà maintenant DEBOUT ET FIER. Il demande des comptes à tous ceux qui en ont abusé et qui se crurent DES INTOUCHABLES.

C’est enfin l’air purificateur en Algérie qui envahit l’atmosphère et qui va se répartir dans tous les recoins du pays.
Il faut savoir que l’engagement de tout un chacun est demandé, à n’importe quel niveau de notre société.
Partout, où que l’on soit, un geste exemplaire de notre part, fusse-t-il si petit, est le bienvenu. Faisons-le au nom de l’Algérie! Au nom de l’unité retrouvée !

Sachons aussi que c'est le moment où de jeunes grandes figures, et vous en avez déjà vues, vont faire leur apparition afin de raffermir cette noble Nation que d'aucuns ne voulaient que ternir.
Rejoignez-les !
Encouragez-les !

Appuyez-les !
Faites de votre pays : l’Algérie, un pays honorable à votre mesure.
Nous sommes au temps de LARBI BEN M'HIDI qui nous revient de si loin pour nous réveiller enfin.

Et voilà que je me rappelle sa fameuse citation :
«Mettez la révolution dans la rue, le peuple s'en emparera.»
Je me rappelle aussi les dires de l’un de ses proches qu’il se réunissait à quelques pas d’un poste militaire (du côté du « Bureau Arabe ») et de la P.J. (Police Judiciaire : « dar lassourtiya ») avec feu BOUDHIAF et d'autres, chez sa sœur : notre Chère tante DRIFA, la mère de nos ami(e)s (les Azzouz), dans notre quartier de «DHALAÂ » à Biskra.
J’ai toujours devant mes yeux les trois préfabriqués militaires devant lesquels ils passaient, tout juste à côté, et qui faisaient face à la placette où atterrissait l’hélicoptère de nos malheurs réunis.

Lorsque dans un sursaut de prise de conscience généralisée nos étudiants ont fait corps avec le "HIRAK" afin de lui donner une impulsion plus forte encore, je me suis retrouvé à écrire d'une manière tout à fait machinale: dans l'un de mes slogans (à Facebook):

« IL VAUT MIEUX UNE ANNÉE BLANCHE QU'UNE VIE TOUTE NOIRE. »

Bien sûr, rien ne doit contrecarrer le mouvement estudiantin qui adhère au « HIRAK » ; bien au contraire, l’étudiant ne doit-il pas être partie prenante ? N’est-il donc pas un apprentissage aussi important que de vouloir apprendre à construire une jeunesse, un peuple, une NATION ?
C’est à l’Université de former l’Homme de demain et non pas de le bloquer ou de l’empêcher tout naturellement d’être et d’être aussi engagé pour son pays ainsi que pour toutes les nobles causes.
Nous préférons des étudiants vivants et grouillants, tonitruants et conscients que des étudiants amorphes, veules et indifférents aux soubresauts de leur peuple.
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En principe, la pression doit être maintenue contre ce pouvoir scélérat jusqu’à ce qu’il soit changé de fond en comble. Qu’il parte !
Ne nous a-t-il pas menés tout droit à l’inévitable ruine : ruine des valeurs sous toutes ses formes, qu’elle soit d’ordre humain, social, économique, civilisationnel ou autres, c’est pourquoi aussi il faut libérer nos universitaires dans leurs actions militantes. Que notre jeune étudiant algérien s’engage et apprenne dans la masse.
La rue algérienne est devenue une École aujourd’hui ! L’Algérie a besoin plus que jamais de ses jeunes.
Qu’on les laisse participer à la libération de leur pays, de leur peuple. Qu’ils agissent ! Qu’ils apprennent à agir ! Ne devraient-ils pas eux, les premiers veiller ? Alors qu’ils veillent à moins que, encore, il y ait des êtres qui ne veulent pas que les étudiants veillent !


Hé bien que nos étudiants adhèrent corps et âmes au « HIRAK » et qu’ils donnent des leçons à ciel ouvert au monde entier et, surtout, une leçon à tous ceux qui ont usé et abusé de notre pays et de ses richesses qu’ils ont pillées en leur signifiant haut et fort que le temps « DE LA TRAÎTRISE, DES MAGOUILLES , DES MAGOUILLEURS et DES DINAROSAURES » est révolu. Bel et bien révolu.
Bientôt la 2ème République!


Enfin, ce message s’adresse à notre jeunesse, et même à nous autres grands: à tous ceux et toutes celles qui peuvent encore donner.
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TON FRÈRE ALGERIEN: SAHA FTOURKOUM !

MOHAMED .LAÏD.ATHMANI





dimanche 6 janvier 2019

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2019 !




https://www.youtube.com/watch?v=PltyWYXgzKY